En vrac
Alors comme ça, à cause de mon silence, vous avez douté un moment de moi. Parait même que les plus malfaisants ont pensé que j’étais mort d'épuisement général ou d'une maladie bizarre due au trop grand nombre de filles présentes chez moi ce ouik’, maladie qui aurait eu pour siège mes organes reproducteurs primaires devenus tout petits, durs et tout fripés. Genre comme des raisins de Corinthe quoi !
Ben non !
Je ne suis pas mort.
Et mes gonades vont bien. Merci. C’est gentil de vous soucier d’elles.
(D’ailleurs, elles trouvent ça touchant et elles vous font la bise)
Non en fait, c’est juste que depuis plusieurs jours, je n’avais plus de connexion internet.
D’après mon fournisseur d’accès, dont je tairais le nom par pure charité, ils ont été obligés de couper ma ligne du fait de l’opposition faite par moi, sur mon compte bancaire. Or, j’ai jamais fait opposition tu penses bien ! Sinon comment je ferais pour aller sur Internet pour ma collec’ d’images de pingouins nus ?
C’est pour ça que dans la foulée, je suis allé voir mon banquier pour lui demander quelques explications. Tu sais, je fais jamais mes comptes. Donc il a fallu qu’on remonte ensemble dans l’historique de mes relevés bancaires.
Pour nous rendre compte à ma grande surprise, que depuis plus de trois ans que j’ai Internet, aucune somme n’a jamais été prélevée sur mon compte par mon fournisseur d’accès.
D’où deux explications possibles…
Petitun : Soit chez club-inter*** (j’ai mis des étoiles, toujours par charité hein !), ils avaient décidé de me faire cadeau de ma connexion, simplement pour participer financièrement à l’apport immense que représente ce blog pour la littérature contemporaine.
Petideu : Soit y’avait quelque part un pov’con(R) dans mon genre qui par erreur se faisait retirer mon abonnement sur son compte bancaire.
Quelque chose me dit que la deuxième hypothèse est la plus probable.
Mercre.
Bande son : Rien.
Moi je dis, vivement que chez club-inter*** ils soient privatisés, ça marchera un peu mieux.
(Comment ça ? C'est déjà une boîte privée ? Ah ben merdalors !)